La 2CV a été mon "premier amour" automobile; et on n'oublie jamais son premier Amour !
Fin 1984, j'ai passé mon permis de conduire et mon père m'a "vendu" (contre une somme toute symbolique et que je n'ai jamais du lui rembourser totalement) la 2CV 6 de 1976 de ma mère.
Avec elle, j'ai fais les 400 coups et je l'ai emmené un peu partout.
Le grand voyage annuel était le parcours Paris-Briançon et retour effectué via la Bourgogne et le Col du Lautaret pour rejoindre les chantiers du Club du Vieux Manoir.
L'image ci-dessous représente ma deuche au sommet du raidillon qui mène du champ de mars de Briançon au Fort des Salettes à quelque 1500 mètres d'altitude. Ce chemin muletier ressemblait plus à un chemin de Grande Randonnée qu'à une route départementale. Même les engins tous-terrains des services techniques de la ville peinaient à s'y aventurer... pas ma deuche !
Depuis, cette deuche a été vendue et je me sens un peu orphelin...
Je me console en photographiant des 2CV, originales ou non, lors de mes balades en France.
Ainsi, à Laon, le 15 juillet 2000, ces trois deuches transformées en oeuvre d'art par un artiste local.
Ou encore cette deux pattes quasiment à l'abandon à Gigny sur Saône le 14 janvier 2001
Ou cette rare 2CV Spot vue à l'heure de la messe à Vitteaux le 18 février 2001 :
D'autres viendront compléter cette collection virtuelle de 2CV.